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| Les cris sont repliés dans la terre des mots,
graines lancées pour mon salut qui est à vivre.
Comme un ciel neuf enfin, son ombre ayant roulé
de la nuit, soc sur l'aube fécondée en
rêves, j'aurais bien avancé mon ouvrage
et mérité le temps dont je reste comptable ?
Puisqu'il faut récolter les promesses de l'âge
puis replacer ainsi mes coudes sur la table
pour nourrir la surprise
tant il fait toujours clair
là où s'en va le jour.
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