Miroirs douteurs - Fortune de feu



Phénix brûlant je te ressemble
Renaissant chaque jour ailleurs
De la profondeur du silence

Comme l’oiseau brillant se glisse
De l’ancien feu son maître lieu
Ainsi j’abandonne les cendres
De mes erreurs et de ma joie

Chaque matin je fais la nuit
A la fin sur le jour descendre

Il ne me reste pas une heure
De cette vie de ce labeur