4. De l’unité de la conscience



La conscience de la personne est impossible à envisager en dehors des cultures, des organisations sociales et des préférences esthétiques qui constituent la conscience de l’humanité.

S’il y a communication et possibilité d’objectivisation c’est que l’esprit, le sujet de la connaissance est un.

La somme de toutes les consciences est ainsi un. Notre conscience individuelle n’en est en fait qu’un aspect.

Le corps est l’outil temporaire et aléatoire de cette conscience en ce sens que la conscience humaine existe parfaitement sans lui. Il n’y aurait pas absence de conscience sans l’existence de mon corps.